10 décembre 2011

Noël chez les Pipelettes

A l'occasion des fêtes, les Pipelettes ouvrent leurs portes exceptionnellement dimanche 11 décembre de 14h à 18h et dimanche 18 décembre de 11h à 18h.



De nombreuses idées cadeaux et paniers gourmets vous attendent,
et nous vous proposons dimanche 11 décembre une dégustation des foies gras de canard et d'oie de la Maison Artzner.

24 novembre 2011

Invitation à une dégustation vin samedi 26 novembre

Les Pipelettes vous convient à une dégustation de vin
samedi 26 novembre
de 15h à 19h

Nous vous ferons découvrir 3 vins du Domaine Vincent Barbier à Gilly-les-Citeaux :
- Hautes Côtes de Nuits 2002
- Hautes Côtes de Nuits 2003
- Crémant de Bourgogne

Avec une superficie de 3 hectares seulement, ce vignoble a la particularité d'être un des plus petits de Bourgogne, et exploité en pleine propriété.

A cette occasion, nous vous ferons aussi découvrir quelques produits de notre épicerie fine, à samedi!

18 novembre 2011

Le brunch du samedi


Chez les Pipelettes, pas besoin d'attendre le dimanche, le brunch a lieu le samedi !
On y va en particulier pour les scones maison concoctés par Aline (le voisinage commence  à connaître le filon et vient en chercher à emporter dès la sortie du four), le rituel du chocolat chaud 'à la cuiller',  mais aussi pour la qualité du pain et des confitures de Lydie, la magnifique charcuterie ibérique ou l'assiette de saumon-battili de thon-tarama, le jus frais maison toujours original et délicieux (pomme citron persil, orange pomme carotte...), et la générosité de l'ensemble (oeuf à la coque, fromage blanc aux graines...).



Les enfants ne sont pas en reste, le même brunch leur est proposé, en quantité réduite et prix aussi.
Compter 21€ pour un adulte, 14€ pour un enfant.
Mieux vaut réserver, la salle peut facilement être pleine. On peut aussi réserver la table d'hôte de la deuxième salle à partir de 6 ou plus.

10 octobre 2011

On parle de nous...

Voilà une rentrée sous le signe du buzz, du bouche à oreille, du pia-pia-tage, et bizarrement cela ne se passe pas chez nous, mais dans les média : bref pour une fois ce sont les autres qui parlent des Pipelettes ...

Fin juin déjà, Brunch à Paris nous faisait une petite visite qui a donné suite à un article fort sympathique :


Début septembre, parution presse dans le Version Femina du JDD parisien, nous le découvrons directement à la lecture du magazine :



Le bonbon, un magazine de quartier "Paris sud" qui fait le point sur les lieux insolites et charmants de la capitale, nous consacre une double page :


Puis c'est autour du site ma-recreation de nous inclure dans un très beau reportage sur les épiceries fines parisiennes, à lire absolument :


Enfin c'est l'apothéose avec l'article de Didier Chambeau, plume et critique gastronomique dans le blog de Gilles Pudlowski


Et vous avait-on dit qu'Aline a donné un cours de cuisine pour l'émission 100%Mag, qui a été filmé directement dans la cuisine des Pipelettes? à suivre via le lien ci-dessous :
Aller directement à 4'34 pour la voir.

Merci à toutes et tous pour vos visites et vos critiques positives, à très bientôt!


6 septembre 2011

Sous le soleil exactement




Cette année, pour Aline les vacances c’est direction la Provence, dans un petit village au sud d’Avignon, à mi-chemin entre les Alpilles et le Luberon….
La Provence a cela de magique que l’on y vit de plaisirs simples :  les marchés colorés, les apéros sous la tonnelle, les odeurs de figuiers et de garrigue …
C’est aussi le lieu rêvé de tous les gourmands et gourmets : des matières premières aux saveurs et senteurs uniques, de vrais marchés colorés qui nous réconcilient avec le bon goût des fruits et des légumes, gorgés de soleil et cueillis à juste maturité et de nombreux artisans producteurs .
Au programme de ce mois d’août : escapades gourmandes, de bons festins faits de mets simples, et du repos !
Tout d'abord, une petite visite chez notre fournisseur d’huile d’olive, le Moulin du Calanquet, à Saint-Remy-de Provence.


C’est là que nous avons sélectionné notre huile d’olive. Nous avons aimé le dynamisme et la passion de deux frère et sœur qui ont choisi de refaire vivre la tradition oléicole à Saint-Remy et de convertir le domaine agricole familial en oliveraie. C’est ainsi qu’en 1997 ils ont planté leurs oliviers, et extrait leurs 1ères bouteilles en 2001. Nous avons aimé leurs huiles mono-variétales, ce qui permet à chacun de choisir la saveur qui lui convient le mieux : verte, ardente ou plus ronde. C’est pour cela que nous proposons chez Les Pipelettes les 2 variétés les plus typiques, la picholine (arômes de noix-noisette, légèrement poivrée en fin de bouche, bonne ardence) et la salonenque (plus douce, plus herbacée, amande), ainsi que l’huile dite d’assemblage, qui réunit les 5 variétés d’olives cultivées.                                                         

aperçu de l'oliveraie
 La Provence, c’est aussi le bonheur de manger des fruits et des légumes qui ont du goût... Un gros coup de cœur pour le marché paysan du Coustellet, au pied du Luberon, qui réunit des producteurs locaux exclusivement et nous offre le meilleur de la Provence : à cette époque des tomates multicolores, des pêches, des raisins, des fromages de chèvre incomparables (personnellement un chèvre frais avec un filet d’huile d’olive, de la fleur de sel et du poivre en moulin, et le paradis n’est pas très loin !), et une découverte : La Ferme aux basilics, une ferme où l’on cultive une variété incroyable de basilics : basilic citron, basilic chocolat ….

Superbe balade que ce marché, et pour clore rien de tel qu’un arrêt à La Gare pour un apéro. Un lieu atypique, l’ancienne gare du Coustellet, gérée par une association, qui s’est transformée en salle de concerts et propose des « zapéro-concerts du marché » fort sympathiques !
Et pour récompenser tous ces efforts, une simple salade de tomates agrémentée de quelques cébettes du pays...

En définitive une besace bien pleine pour Les Pipelettes : le suprême de tomates du Moulin du Calanquet, magnifique sur des tartines pour accompagner les sardines du pays basque par exemple, ou simplement pour agrémenter les pétales de tapenade de la même maison.
Bientôt à la boutique également : le bidon d’huile d’olive 25cl et la confiture d’olive et gingembre, parfaite pour accompagner le foie gras de la fin d’année !
Pour prolonger l’été, à découvrir également dès maintenant les « olives grossanes piquées au sel » de Raymond Gonfond, des olives confites dans le sel pendant quelques mois, pour une saveur et une texture uniques ! A goûter de toute urgence.
Vivement l’été prochain !

22 août 2011

Sous le signe du poisson



Août, le moment idéal pour les découvertes et balades gourmandes. Pour Agnès, ce sera le pays basque, les Venta en montagne (prononcer "Benta"), la visite d'Espelette, les vagues et le surf, les chipirons à la plancha, le merlu sauche chorizo...
Ce sera aussi l'occasion de rencontrer un de nos fournisseurs chéris : la conserverie Jean de Luz.
Rendez vous est pris à 7h du matin à la criée de Saint Jean de Luz - Ciboure.


Il fait déjà 20°C dehors mais 2°C à l'intérieur, et il y a plus de 20 tonnes de thon en vente ce jour là. Saint Jean de Luz est la première place de marché du thon en France grâce à la proximité du marché historique qu'est l'Espagne. On fait le tour avec Jean Hilaire de Baillencourt, créateur de la conserverie et son collaborateur Johan. Les poissons sont touchés et regardés : ils doivent être fermes avec des ouïes bien rouges.


On monte ensuite à l'amphithéâtre où se joue la vente : poissonniers et mareyeurs (grossistes) français et espagnols enchérissent lot après lot devant leurs ordinateurs. Aujourd'hui, Jean Hilaire n'est pas convaincu, c'est le début de la saison et il a encore 4 mois pour acheter son stock, tout va bien.

Après la visite de la criée, direction la conserverie. C'est le jour de découpe des sardines, pêchées dans le golfe de Gascogne: Danielle est déjà à l'oeuvre. La conserverie dans sa démarche bio et de transparence affiche le nom du bateau qui a pêché ses poissons sur chacun de ses bocaux.
Les sardines sont découpées à la main puis salées en saumure et rincées. Elles sont placées dans un séchoir ou elle vont perdre 20% de leur poids. Au bout de quelques jours, elles sont mises en verrine avec de l'huile d'olive extra vierge Elles ne sont pas frites et conservent ainsi tout leur arôme et leur texture.


La stérilisation intervient ensuite qui va permettre de confire les sardines. Résultat : des sardines non frites, qui n'ont rien perdu de leur goût (ni leurs omega3) et n'ont pas pris le goût de la friture, d'où une grande qualité de dégustation.
Vous les trouverez bien sûr chez les Pipelettes, avec d'autres bocaux de poissons cuisinés et des idées recettes.

30 juillet 2011

Les Pipelettes en vacances

Chers clients et amis,
nous fermons ce soir, et ré-ouvrirons mercredi 24 août.
A nous les vacances bien sûr, mais aussi les balades gourmandes, les découvertes et les essais culinaires. Rendez vous à la rentrée pour partager tout cela ensemble.
En attendant, nous vous souhaitons un bel été,
Les Pipelettes

13 juillet 2011

6 semaines déjà !

la tarte aux pêches et pignons

et ...
- 1/2 jambon iberique consommé
- 750 verres lavées et essuyés
- 24 plats du jour différents proposés
- 4 re-commandes des bonnes et jolies confitures de Lydie
- 6 samedis de brunch
- 1 porte fracturée
- une dizaine de dégustations clients : boutargue, financiers, saucisson Noir de Bigorre, soupe froide...
- 90 pâtes salées et sucrées étalées
- 21 marches descendues et montées 20 fois par jour
- 43 saucissons vendus d'Auvergne et du pays basque
- 32 bocaux de sardines non frites arrachées par les clients
- 2 verres cassés seulement, et oui!
- un 3ème rouleau de CB entamé
- 121 thés Betjeman & Barton servis dans nos théières en fonte
- 86 mètres de ruban consommés pour nos paquets cadeaux
- une centaine de lavage de torchons
- 14 BD achetées à la boutique voisine... oui rien à voir mais c'est notre petit plaisir
- une façade taggée...arrgghh
- 1 privatisation réussie pour un brunch professionnel de 22 personnes

Un bon démarrage, vivement le Z1 de ce soir, langage de commerçant...

5 juillet 2011

Plus diserte qu'une pipelette...

On ne l'aurait pas mieux fait! Merci Marion, notre voisine et cliente de la première heure, bloggeuse talentueuse qui a écrit un joli papier sur nous.


http://www.chocolatetvieillesdentelles.com/?p=904

24 mai 2011

Les Pipelettes lèvent le voile...


  • Grande nouvelle : ça ouvre !
  • Quand? à partir d'aujourd'hui, mardi 24 mai.
  • Où? 31 rue Brézin, à Paris 14ème arrondissement
  • Quoi? Epicerie fine + salon de thé + déjeuner.
  • Pourquoi? Parce que cela fait 18 mois qu'on en rêve, et qu'il était temps que cela aboutisse! Parce que l'on a des merveilles à vous faire découvrir surtout!
  • Pour qui? Qui veut bien sûr, et surtout les gourmets, ceux qui flânent, les rigolos, celles qui veulent faire une pause, les petits, les grands, les becs sucrés, les becs salés, les bobos, les familles, les indécis, ceux du quartier, les amis qui veulent dire coucou, ceux qui travaillent, ceux qui ont le temps, les pros, les anti, les plutôt 'Elle', les à fond 'l'Equipe', les carrément 'Oui Oui', ceux qui regrettent déjà Cannes, celles qui suivent déjà Roland Garros, etc...
  • A quoi cela ressemble? à la photo...
  • J'y vais quand? très très vite, on vous attend

16 mai 2011

Quoi de neuf?

Des dégustations de vin avec notre mentor, notre œnologue préféré,  qui viendra pour des « special sessions »  chez les Pipelettes, plus de détails dans les jours à venir…
Un repas « blanc » pour tester notre carte en vrai. Merci à Virginie, Paola, Catherine et François pour leur enthousiasme !
Un papier peint posé cette semaine, très « anglais », qui vient donner un air cosy à notre lieu.
Un cocktail-buffet préparé samedi pour Louise, notre première cliente que nous gardons dans notre cœur…
Des luminaires rouges en métal depuis hier soir pour une petite touche moderne.
Des visites de copines venues donner un coup de main : merci à Virginie, Aimée et Sandra.
Un menuisier mystère, qui tarde à livrer nos meubles, et décale d’autant notre ouverture…
Une nouvelle extraction pour mitonner tous nos plats dans les règles de l’art et de la réglementation.
Et une soirée d’inauguration  que l’on vous prépare avec nos meilleurs produits pour très très bientôt, restez connectés !

27 avril 2011

Oui on avance, pourquoi?

Pourquoi ces questions? Le chantier avance, et vite. Bien sûr il faut encore de l'imagination, mais nous en avons à revendre, et nous venons de loin.
Voici quelques photos pour partager avec vous les joies de la vie de chantier :

la façade : on adore le style industriel
  
la déco : on n'aime pas quand tout est trop net

les clients...plus taiseux que pipelettes

En parallèle, nous n'oublions pas l'objectif final, et enchaînons les dégustations pour choisir de bonnes et belles choses :

Une belle carte de jus de fruits, et bien sûr de bons vins dont nous gardons encore le secret

Voilà, très très vite, des nouvelles plus fraîches, plus belles, plus gourmandes, plus accueillantes!

4 avril 2011

Pour ou contre les tests sur les copains ?

          

Aujourd'hui, déjeuner entre amis, l'occasion de tester un dessert de Pipelettes : ce sera tarte aux pommes, caramel au beurre salé et graines de sésame noir.
Confection de la pâte sucrée, puis du caramel au beurre salé avec quelques graines de sésame torréifiées. Je fonce le moule et le garnis de lamelles de pommes saupoudrées d’un peu de sucre. Au four pour une trentaine de minutes …
Verdict : côté amis gros succès, côté pipelettes retravail de la cuisson de la pâte.

24 mars 2011

Ca, c'est fait!

Il faut le savoir, depuis 18 mois, toute personne gérant un débit de boissons servant de l’alcool, restaurant ou hôtel, doit passer son permis d’exploitation. « C’est la loi de Roselyne» (Bachelot), prévient François notre formateur boute-en-train.
Nous y voilà donc pour la future exploitation des Pipelettes, parmi un public hétéroclite : de la gérante d’une grosse brasserie depuis 10 ans, contrainte de participer à cette « formation », aux plus jeunes dans le secteur, curieux et attentionnés. Il nous fallait un animateur capable de relever le défi : François, plus de 20 ans de gérance dans des brasseries parisiennes, nous met dans l’ambiance tout de suite avec  la règle des 5C. « Avec la licence restaurant, tu peux servir un whisky avec un croque monsieur mais pas de café tout seul, il te faut la licence 1 pour pouvoir servir des boissons sans repas : C’est Con mais C’est Comme Ca. » On y est.
Et les petites anecdotes pleuvent…. En France, il y a une pharmacie pour 3000 habitants, et un CHR (café hotel restaurant) pour 450. Au fait, on ne dit plus CHR mais HCR. « Ah oui, dit un brillant futur licencié, on confondait avec Centre Hospitalier Régional. ». Oui mais maintenant c’est avec Haut Commissariat aux Réfugiés, donc ça change rien ». L’ambiance monte d’un cran, François est au taquet, nous sommes tout ouïs.  
« Et si on n’a pas notre licence avant le jour de l’ouverture ? demande Martin qui ne semble pas tout à fait à l’aise. « Ben t’as plus qu’à astiquer la pompe à bière » Silence gêné.
Ensuite, direction la préfecture pour demander notre licence 1. Pour la licence restaurant ça attendra, les douanes ne gèrent plus et aucune administration n’a repris le dossier. De la mairie à la préfecture, tout le monde hausse les épaules. « Mais attention, si vous ne l’avez pas, vous ne serez pas en règle ! » Oui on sait, c’est les 5C…

7 mars 2011

Vive la vie de chantier!


Les jours passent et ne se ressemblent pas. Déjà il y a eu la signature historique de nos statuts puis du bail du local dans la foulée! On passe rapidement sur l'épisode du propriétaire qui ne veut plus venir la veille de la signature et des associés chinois qui ont commencé à se mettre dessus en pleine signature chez l'avocat.
Ca y est, nous sommes chez nous! Un chez nous... plein de gravas et de vieux ustensiles, de tables et chaises oubliées, frigo, balances et autres objets irrécupérables que nous avons dû vider gentiment à la déchetterie.

Etape 1 : achat de 2 combinaisons intégrales de travaux et gants latex pour plonger dans les casseroles cabossées, pots d'huile rance, calendriers Metro des 20 dernières années, et autre presse purée rouillé en aluminium…


Etape 2 : bourrage de la voiture familiale puis découverte à la déchetterie que l'on trie en 7 bacs sur place, ce qui est très bien mais juste chronophage quand on a mélangé des morceaux de cloison en plâtre, des fourchette en métal, un miini bouddha en plastique etc... indifféremment dans 11 gros sacs poubelle.

Etape 3 : bon ben on appelle une société de débarras parce que ça ne va pas le faire comme ça, et puis vider un meuble froid de 2m x 1m avec nos petits bras c'est pas jouable.

Etape 4 : c'est vide, y a plus qu'à casser!

Etape 5 : notre super équipe se met en place : des échelles, un marteau piqueur, 5 gars qui travaillent au rythme de Billy Jean à la radio, boîte de parmentier froide ouverte sur un sac de béton, la vraie vie de chantier!

Etape 6 : finalisation des plans. Pour couper un poivron en étant à l'aise, le plan de travail il est à 90cm ou 100? La machine à café, elle est à capsule ou en grains, non c'est rapport à l'arrivée d'eau ? Les arrêts coups de poing, ça vous va près du four à 140cm? Dans la chambre à thé, il y aura combien de boîtes de 1kg par rapport aux 250g? Et le frigo pour les boissons, plutôt près de la pâtisserie ou dans l'office?

Allez, on s’y remet et promis, entre 3 réunions de chantier et 10 coups de fil, on vous poste très bientôt un papier un peu plus gourmand…

10 février 2011

Il est comment le petit nouveau?

Vous l’avez peut-être déjà en main, il est distribué ce mois-ci via les magazines Côté Maison (Côté Sud-Ouest-Est-Paris). Curieuses comme nous sommes, nous nous sommes précipitées pour en apprécier le contenu, attirées par la nouveauté, d’autant plus que nous aimons particulièrement la rubrique cuisine de Côté Maison.



Notre avis :
un vrai plus dans la mise en page, que ce soit dans le choix du papier ou de la typo qui changent des magazines cuisine habituels (très mylittleparis quand même pour la typo). Le leitmotiv de l’éditorial : simple et bon. Tiens, ça colle bien aux Pipelettes… Un état d’esprit qui se veut décomplexé, pour ceux et celles qui aiment cuisiner mais qui ne sont pas des pros.
A l’intérieur, un 2ème édito qui insiste sur le parti pris décalé, épuré, simple, décomplexé… OK on a compris. Puis beaucoup de publicité, des infos produits assez basiques, distribués chez Monop, Lafayette Gourmet, Picard, Oliviers&Co et GMS, plus une ou 2 exceptions. Cela devient un peu décevant. Des belles rubriques nous redonnent le sourire : le spécial chou, coquille Saint Jacques, les blogs cuisine illustrés, les magnifiques emballages pour valoriser une confiture ou des biscuits  maison. Nous piochons même une recette à tester pour chacune : pour Agnès, ce sera carpaccio de Saint-Jacques aux zestes de citron vert, pour Aline Cocotte de coquillages au citron et mini-poireaux.
En conclusion, une belle manière d’aborder la cuisine, sur le fond et la forme, mais on reste quand même sur notre faim, des recettes parfois trop simples et un discours trop entendu.

3 février 2011

Avec ou sans roquette ?



Aujourd’hui, c’est un jour délicieux. Nous délaissons les sujets chauds -banques et travaux- et replongeons avec un plaisir non dissimulé dans notre carte, nos menus, nos recettes, notre choix de vaisselle. Au programme, salade de chou fleur cru au concombre et coriandre, et mini tartes briochées. Après quelques discussions sur le choix des ingrédients des tartelettes – ce sera tapenade d’olives noires et oignons rouges caramélisés pour l’une, tomates séchées et artichauts marinés pour l’autre- nous nouons nos tabliers et c’est parti :  atelier pâte briochée et mandoline, papotage pendant que la pâte lève, essais de cuisson à différentes températures au four pour optimiser le petit goût brioché des tartelettes, mise en place de la garniture avant et après cuisson pour dégustation, dressage vertical et horizontal, avec ou sans roquette (il y a débat!) : aucun détail n’est mis de côté pour optimiser le goût et l’aspect.
Au final, la salade est magnifique, avec un jeu très intéressant de croquant entre le chou fleur émincé très fin à la mandoline, les radis et le concombre. Et la compotée d’oignons rouges se marie parfaitement avec le côté acide des olives et doucereux de la brioche.. En plus c’est joli, banco !




Il n’y a plus que la vaisselle à trouver, notre essai nous plaît bien, à suivre…

26 janvier 2011

Merci Richard !


Grand moment d’émotion chez les Pipelettes, notre cuisine est en train de prendre forme sous le crayon de Richard notre cuisiniste :


C’est dans ces 15m² que nous allons bientôt nous affairer pour vous mitonner soupes de légumes oubliés, tartes au parmesan sablées, blanquette vanillée, poires pochées et autres surprises improvisées !

24 janvier 2011

Les croustillants 2010

Qui a dit que c’était ringard de faire le bilan de l’année passée quand redémarre la prochaine? Nous, on adore et on vous livre nos best of 2010, ces rencontres improbables, ces fous rires incontrôlés, ces situations cocasses, et l'année en une image représentative…
1.      Extraction ou pas extraction ?
Une extraction est le système de hotte professionnelle., la première chose sur laquelle on se penche en démarrant la recherche du local. Entendu au début :
« L’extraction, c’est absolument obligatoire à partir du moment où il y a cuisson! » « Franchement, si tous les restos avaient une extraction, ça se saurait ».  Bon, et dans ce resto trop chouette dans le quartier où on se verrait trop bien :  « C’est bien une extraction ? » on demande, interrogatives,  face à la hotte Ikea  branchée sur le conduit de la copro : « Oui, oui bien sûr » nous répondent en choeur l’exploitant et l'agent immobilier.

2.     Les prévisions de vente
« On se met combien de clients la première semaine ? Plutôt 0 parce que personne ne viendra au début, ou 20 car il y aura un effet nouveauté ? »

3.     Le resto italien pour se remonter le mo-moral
Il faut nous imaginer attablées devant un gros cheesecake et 2 limoncellos pour ne pas sombrer face à 2 murs porteurs apparus inopinément, remettant en cause tout l’agencement sur lequel nous avions travaillé, quand arrive Hélène ex-collègue, resplendissante,  2 sacs shopping à chaque bras, de retour d’une semaine à Venise avec la Firme, nous apostrophant d’un « alors les fi-filles, comment ça avance votre projet ? Quand est-ce qu’on vient déjeuner chez vous? »

4.     Le flag d’espionnage industriel
L'épicerie du Bon Marché : où on nous a gentiment demandé d’arrêter de prendre des photos. Mais comment ont-ils pu nous voir dans toute cette foule ?

5.     Les agents immobiliers
Celui qu’on a usé, l’autre qui ne nous rappelle jamais, ce troisième, notre préféré, qui nous demande 15K€ d’honoraires et reste sur son scooter à fumer des clopes pendant qu’on fait la visite de la cave avec pour seul éclairage la lampe de notre Iphone…

6.     Les vrais amis
« Alors, t’as ouvert ? », voire le « J’ose plus t’en parler, mais Ca avance ton projet ? » où tu bredouilles « Ben, on cherche le local » et où cette personne te répond (véridique) « Ah ouais, ben ça avance pas alors ! »

7.      Le benchmarking
Discussion rue des Martyrs  lors d’une rencontre fortuite avec un ami : " Mais non Vidal, nos sacs, c’est pas du shopping, c’est du benchmarking : petit déj chez Coquelicot, prise d’infos gourmandes aux Ets Lion, une tête chez Fuxia, un dej chez Rose Bakery… c’est pour notre concept !"

8.     Le harcèlement Pôle Emploi
Il fallait qu’Aline tombe sur la seule employée zélée de Pôle Emploi, qui l’appelle tous les mois pour savoir "Alors, vous en êtes où dans votre projet?" 

9.     Des banquiers à nos pieds
Conclusion d’un mail reçu d’un banquier  «Dans la langueur de votre réponse» …

10.  A savoir avant de se lancer
Lors d’une de nos nombreuses discussions (on est des pipelettes) nous avons éprouvé le besoin de repréciser ce qu’était un projet, et hop, nous voilà sur Wikipédia «Un projet est un engagement irréversible de résultat incertain non reproductible a priori à l’identique nécessitant le concours et l’intégration d’une grande diversité de contribution, et répondant à un besoin exprimé». Tentant, non?

14 janvier 2011

En 2011, emplettes et dînette chez les Pipelettes?

Ca y est, nous y sommes…Pour nous 2011 sera, on l’espère, l’aboutissement de ce long, curieux et passionnant travail réalisé depuis 15 mois, dans l’optique de vous accueillir chez Les Pipelettes.
Chez nous, c’est l'idée d’un endroit qui rassemble une épicerie fine, un salon de thé et des tables pour partager un déjeuner.
C’est le souhait  de vous faire découvrir nos trouvailles, du petit producteur local au producteur plus exposé, du novice au plus expérimenté, avec un point commun à tous : l'exigence du travail bien fait.
C’est le souhait de vous accueillir, un peu comme on le ferait chez nous :
 - au déjeuner avec une carte du marché, simple et fraîche, à laquelle on rajoute des touches de nos produits d’épicerie fine préférés pour vous inspirer, comme avec un poivre de Sechouan, ou un chutney de figues.
- ou tout au long de la journée pour un thé, un smoothie frais ou une pâtisserie de notre sélection.
C’est aussi, et surtout, le souhait de partager avec vous des recettes, des rencontres et des idées, en toute simplicité.
En attendant, nous nous activons pour préparer cette ouverture prévue fin avril (on croise les doigts !) et continuerons de partager avec vous d’ici là, via ce blog, nos aventures et mésaventures, nos coups de coeur et nos coups de gueule.
Et pour vous, que vous souhaiter en 2011? Bien sûr, que cette année soit un grand cru, qu'elle vous soit douce et vivante , riche en découvertes culinaires, inspirations gourmandes, rencontres enrichissantes  et …des projets plein la tête. Bonne année!